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La foule et moi. A gauche, un monstre qui veut nous occire; à droite, deux chemins vers un cul de sac ou bien la sortie. Par instinct de survie je présume -et je présume bien-, la foule se rue à tribord. Mais moi je m'arrête, forcément. Parce que là tout de suite, j'ai juste besoin de me recentrer: "alors attends voir, à droite ok, mais à droite gauche, ça m'a tout l'air d'être une voie sans issue; en revanche, à droite droite, mais oui bien sûr, eureka, c'est la sortie!!!!". Trop tard. Je suis bouffée. La foule, elle, a une chance sur deux de s'en sortir (en considérant, obviously, que ceux qui choisissent droite gauche soient irrémédiablement condamnés, foutus, morts). Ca mérite réflexion quand même... non? Décidement...
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Suivre dorénavant les élections françaises blasitudeless, même si elles cassent pas des briques.
Parce que c'est bon les insomnies quand on a hâte hâte hâte et qu'on hate hate hate d'un côté et believe believe believe de l'autre. Ca casse la baraque, même. Youhou!
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Il eut été préférable qu'on défende plutôt qu'on interdise.
Qui sait, sur un malentendu...
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(Si si, d'un Valloton)
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